En janvier, j’enchaîne les examens médicaux : audiogramme, test des vertiges, IRM, scanner, oto-émissions… Deux jours très intenses pour que l’équipe pluridisciplinaire du service d’implantation ait tous les éléments pour émettre un avis.
Ma seule crainte désormais : qu’il n’y ait pas de solution à court terme. Parce que la fatigue se cumule. Très impliquée une vie professionnelle et sociale intense, j’ai du mal à ralentir. Pourtant, je ne tiens plus le rythme. La tension et l’attention pour comprendre sont permanentes. Le changement est palpable et mon corps me transmet des signaux d’alerte. S’il n’est pas possible d’implanter, quelles sont les perspectives ? Le sujet m’inquiète…
Un mois d’attente, c’est rapide et long à la fois. Le 20 février, nouveau rendez-vous à l’hôpital pour m’annoncer que serai implantée de l’oreille droite le 29 mars prochain.
Ouf ! Soulagée…
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